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La Sélection (suite et fin)

Projet EVARS : Quand l’enfance est en danger ! 

Anne Genetet, ministre de l’Education Nationale du gouvernement Barnier, a annoncé fièrement la mise en place, à partir du 1er janvier 2025, du Programme EVARS (Education de la Vie Affective, Relationnelle et Sexuelle), et ce, dès l’école maternelle !

Selon de nombreux experts, ce programme, dit « d’éducation à la sexualité », présente de graves dangers pour l’équilibre psychoaffectif de l’enfant, exposé à la banalisation de la pédophilie et à la normalité du transgendérisme. Ainsi, la voie est libre pour les adeptes dépravés de la “cancel culture” et du gendérisme débridé, sévissant dans plus hautes sphères du pouvoir, pour imposer un enseignement avec une réelle intention de perversité.

Plutôt qu'une prévention des risques liés à la pédophilie, ce programme, imposé aux établissements publics, comme ceux “privés sous contrat”, risque, selon de nombreux médecins,  non seulement d'aggraver les atteintes à l’intégrité de l’enfant (en déculpabilisant l’agresseur), mais aussi de compromettre gravement son développement, en le traumatisant d’une façon irréversible jusqu’à générer chez lui des comportements déviants.

Dans une opinion sous contrôle, anesthésiée par les médias sous perfusion, cette intrusion dans la vie des familles n’a, singulièrement pas suscité beaucoup de réactions, ni chez les associations de parents d’élèves, ni parmi le personnel enseignant, alors que ce sujet semble devenu une “priorité” de l'Education nationale, qui se base sur les “recommandations” de l’OMS, aux mains de la caste dégénérée des mondialistes, considèrant que l’enfant est :

• Un “sujet sexualisé” à éduquer, alors même que l’enfant n’est ni concerné ni prêt psychiquement

• Le destinataire de contenus éducatifs à caractère sexuel explicite, obligé de participer à ces “séances d’éducation” imposées par des adultes qui ont autorité sur lui, contraint de faire ce qu’on lui demande devant le reste de la classe et ne pouvant pas s’y soustraire.​​

L’OMS évoque aussi le « droit au plaisir » pour justifier ses “recommandations”. Il ne s’agit pas ici d’argumenter sur ce droit, mais sur la nécessité du consentement qui y est corrélé et qui ne peut pas être invoqué pour un enfant qui est dans l’incapacité psychologique de s’opposer aux désirs adultes...

(… la suite de l’article dans Univers SPIRALE N°118)

Le cerveau nouveau champ de bataille interconnecté Vers la guerre cognitive totale !

​Selon la doctrine militaire des États-Unis et de l’OTAN, donc la nôtre, les cerveaux sont l’un des trois champs de bataille interconnectés, avec le terrain physique et le domaine du virtuel. Une doctrine qui a évolué depuis le Covid, pour intégrer le ciblage des populations civiles dans le but, nous dit-on, de réduire l’impact des attaques étrangères, russes et chinoises en l’occurrence, sur l'opinion publique.

Si au début, il n’était question que de propagande, de guerre de l’information, on voit arriver d   ans certains documents l'évocation de moyens plus corrosifs. Le narratif par lequel nos dirigeants présentent la réalité n’est plus crédible pour une grande partie de la population, probablement plus de la moitié depuis le Covid. Mais les gens croient assez facilement aux récits "alternatifs", qui peuvent aussi servir la propagande. Par exemple, en diffusant des théories fumeuses, en favorisant les divisions, en empêchant les gens de penser, en focalisant sur des sujets accessoires et futiles…

Le concept de guerre cognitive, qui se généralise dans la doctrine militaire en Occident et ailleurs, est comme le dit le spécialiste de la question Bernard Claverie, une "démarche agressive" à laquelle se livreraient des pays étrangers, principalement la Chine. Mais pas nous, bien-sûr! Pas encore, et pas autant. Or si la doctrine officielle tarde à venir, c’est certainement parce que son absence permet tout et n’importe quoi. Car si l’OTAN n’a pas à respecter les lois, qu’elles soient nationales ou internationales, ce n’est pas le cas des armées nationales.

Quoi qu'il en soit, la guerre cognitive ou par moyens électroniques n’est quasiment pas réglementée. Avec les nouveaux moyens technologiques, que tous les grands pays développent, nous entrons dans une nouvelle ère de la guerre. Il y aura toujours des conflits armés qui permettent de vendre des armes, de détruire et reconstruire. Mais en plus, il y aura la guerre contre nos cerveaux, contre notre pensée. ​

Un document récent du Cognitive Security Institute avec la Norwegian University of Science and Technology et de l’Ostfold University College présente différentes méthodes permettant d’atteindre les objectifs de la guerre cognitive (à savoir modeler l’opinion publique et la manière de penser des individus. Par exemple l’interaction directe avec le système nerveux, avec le consentement de la cible. Les moyens : "médicaments/ virus/ stimulation cérébrale pour améliorer les performances". Usage d’enregistrements d'électrodes ou d'implants d'électrodes et métacognition pour diagnostiquer la cible. Ce type de technologie devrait arriver d'ici moins de 20 ans sur les champs de bataille. L'"amélioration neuronale directe", plus polémique, n'arriverait qu'ensuite selon le rapport Science & Technology Trends 2023-2043. L’interaction directe avec le système nerveux pour tuer le cerveau ou désorganiser, par exemple avec des virus altérant les fonctions cérébrales...

(… la suite de l’article dans Univers SPIRALE N°118)

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